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La presse critique t’elle trop sèchement l’équipe de France ?

Avec les scandales de l’affaire Nasri, les propos rapportés du clash Menez/Lloris ou encore l’altercation entre Ben Arfa et le coach Laurent Blanc, on est en droit de se demander si finalement toutes ces tensions au sein des bleus n’ont pas été attisés par la presse française. Celle-ci faisant certes son boulot, un peu trop bien par moment, elle n’a cependant pas épargné à tirer à balles réelles sur l’ambulance française, dans laquelle on retrouve surtout dans le rôle du mourant, Samir Nasri.
Le milieu de manchester city n’a vraiment pas été ménagé par les journalistes français. C’est pourtant lui qui déclenche les hostilités lors du match contre l’Angleterre (1-1) où après avoir marqué le premier but pour l’équipe de France dans l’Euro2012, en adressant un cinglant « ferme ta g…. ». L’ancien marseillais pouvait se contenter de mettre son doigt devant sa bouche afin de mimer le traditionnel « chut » que tout joueur de foot critiqué connait par cœur, mais il a fallu que Nasri s’y reprenne à plusieurs fois pour qu’on puisse lire distinctement sur ses lèvres. Une pique vraisemblablement adressée aux journalistes de l’Equipe. On laissera aux intéressés le soin de se défendre, mais le geste de Nasri allait être sans vraiment qu’il en soit conscient, le symbole de ce divorce consommé entre les bleus et la presse française.
1998-2012 deux époques différentes
En toute objectivité, on pourrait reprocher au milieu offensif auteur d’une très belle frappe de « dédier » son geste à la presse, alors qu’il est pourtant coutume de fêter un but avec ses coéquipiers, voire aux supporters. Christophe Dugarry en était sorti grandi en 1998. Egalement critiqué, il avait dédié son but aux journalistes en leur tirant la langue pour ensuite remercier chaleureusement son entraineur Aimé Jacquet. Pourquoi une telle différence de traitement 14 ans après ? Le comportement des protagonistes n’est pas le même certes, mais celui des journalistes non plus. Il existait à l’époque une vindicte générale envers Aimé Jacquet qui n’avait pas sélectionné tel ou tel joueur, mais au final rien ou très peu contre les joueurs.
Cette année, changement de décor. Laurent Blanc jouit d’une relative protection de la part des journalistes. Oubliée la polémique sur l’affaire des quotas, l’accent est mis sur les moindres frasques des joueurs avec une grande forme d’abus. Les clashs mettant en scène Ben Arfa/ Laurent Blanc et Menez/Lloris sont certes déplorables, mais font néanmoins partie de la vie de groupe des footballeurs. Les journalistes le savent, mais avec la une de l’équipe sur les fameux mots de Nicolas Anelka envers Raymond Domenech en 2010 qui s’est vendue à plusieurs milliers d’exemplaires, les déboires des bleus font vendre. Et à défaut de remporter l’Euro, c’est toujours ça de gagner pour les journalistes. L’appel du clic l’emporte donc sur l’élan patriotique à tel point que des journalistes de l’AFP oublient de dire que dans la deuxième affaire Nasri, c’est l’un des leur qui l’avait justement provoqué.


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